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Pensées lexicales au fil de l’Odet 2014

Beau temps, mer belle, on aura tout à l’heure un plaisant 2-3 du sud-ouest pour revenir. Petits coefficients et la mer qui descendra jusqu’à 16 heures.

En attendant, alors que nous finissons de remonter la plus belle rivière de France, allez savoir pourquoi, mais voilà le mot « échouer » qui me trotte en tête.

1960-vue de Rosbraz depuis Kerdruc.jpg

1958- Echouage tranquille (sur l’Aven)

Echouer ou s’échouer ?

Ce « S apostrophe », c’est tout un monde qui sépare les deux formes verbales. Dans un cas, l’échouage, dans l’autre l’échouement. On échoue ou on s’échoue. Le premier, volontaire, le second … pas désiré. On ne fera ni l’un ni l’autre ajourd’hui.

Un siècle plus tôt, et toujours sur l’Aven, un brick-goélette devant l’anse du Poulguin.

Echouement ou échouage ?

L’échouement

(Dessin déniché par notre ami Yann)
cotremarcheavec